M. Prince-Bertrand BAHAMBOULA (Promotion 2015)

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Prince-Bertrand (Promotion 2015) est actuellement un étudiant du Magistère Banque-Finance de l’Université Paris II Panthéon Assas. Aujourd’hui, il cherche à intégrer l’université d’Harvard après avoir été maintes fois lauréat de concours. Il est notamment recommandé par l’Ambassade française du Congo et d’éminents professeurs de l’Université Panthéon-Assas.

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Pour commencer, peux-tu présenter en quelques mots ton parcours universitaire ?

J’ai débuté avec un bac scientifique option mathématiques que j’ai obtenu avec une mention Très Bien. J’ai par la suite rejoint l’Ecole Supérieure Polytechnique où j’ai effectué une année en ingénierie mécanique. Comme la formation ne m’intéressait pas – celle-ci n’étant pas assez concrète – j’ai décidé d’intégrer la Licence Economie-Gestion d’Assas. Cette formation me convenait davantage, ainsi, j’ai pu rapidement la coupler, dès la L2, avec le Diplôme d’Université du Collège d’Economie filière Economie et Droit avant d’intégrer en L3 le cursus d’excellence du Magistère Banque Finance d’Assas puis, bien entendu, l’Institut de Droit des Affaires. Nous n’étions que trois économistes à avoir intégré l’IDA cette année et j’étais le seul venant d’Assas ! 

Pourquoi un cursus économie et droit ?

Pour être honnête, je ne savais pas vraiment quoi faire lorsque j’étais en L2. Je me suis simplement dit qu’étant donné la complexité des métiers de la finance, une double compétence juridique et financière me permettrait de me distinguer. Le droit est quelque chose d’incontournable en finance. Par exemple, il est essentiel aujourd’hui de maitriser les règles de droit bancaire et financier lorsque l’on agit sur les marchés.

Puis, pour tout vous dire, je trouve le droit passionnant ! 

Un métier en particulier en ligne de mire ?

A la base, j’ai intégré le Magistère Banque-Finance pour devenir trader. Mais aujourd’hui je suis tenté de vous répondre « expert-économiste » ce qui implique, à mon sens, de travailler dans la finance et d’obtenir – à terme – un doctorat.

De plus, tu enchaines les concours d’économie !

C’est vrai. Ça a commencé avec les concours de l’université d’Assas en Economie-gestion. J’ai tenté ma chance en L2 où j’ai été gratifié de la première mention puis à nouveau en L3, où j’ai réussi à décrocher le premier prix ! Je ne m’y attendais vraiment pas ! A l’origine, je voyais ces concours comme un entrainement au raisonnement nécessaire à la recherche plus qu’autre chose : quand on vous donne une phrase à travailler pendant six heures, l’exercice diffère forcément de ce à quoi vous devez faire face lors d’un examen classique.

Comment prépare-t-on ce type d’exercice ?

Difficile à dire puisque je ne les avais pas réellement préparé. Si on prend le premier concours par exemple : j’étais venu « en touriste » ! Je m’en suis sorti en faisant le choix d’un sujet sensible : le gaspillage alimentaire et la totale absence de réelle politique en la matière. Quand je pense au rapport du FAO (Food and Agriculture Organisation) qui dénonce les plusieurs milliards de tonnes de déchets alimentaires annuels, ça me touche profondément.

Des développements qui ont assurément plu au jury ! L’ambassadeur du Congo a d’ailleurs fait le déplacement pour la remise des prix !

Oui, c’était vraiment très gratifiant pour moi. J’ai la chance d’avoir gagné de la visibilité au Congo grâce aux Concours de l’Université, à l’IDA et au prix que m’a délivré le Cercle des Economistes de France en 2013 dans le cadre de leur concours « Parole aux étudiants ». J’ai notamment été contacté par des chaines de télévision, dont certaines appartenant au groupe France Télévision, qui souhaitaient que j’intervienne dans divers reportages. Enfin, j’ai été élu « Meilleur étudiant congolais de l’année à l’étranger » et suis même invité à rencontrer des officiels du Congo le 31 décembre prochain pour la remise de prix ! 

Pourtant, je ne pense pas mesurer l’importance de tout cela. Tout ce que je fais, c’est pour mes parents, ma famille, mes amis et pour porter les valeurs de l’Université.

As-tu un « modèle d’inspiration » ?

Un modèle d’inspiration ? Difficile de choisir ! Si j’avais un modèle en économie, ce serait le français Jean Tirole qui vient de remporter un prix Nobel. Je pense également au professeur Alain Redslob, de l’Université Panthéon-Assas, qui m’a donné envie de faire de l’économie. Je me souviens que, pendant ses cours, il prenait toujours le temps de commenter le journal et l’actualité. Même s’il m’arrive d’échanger avec d’autres professeurs, ça reste au professeur Redslob que je dois ma passion pour l’économie.

Mais j’ai également d’autres modèles ! Le basketteur Michael Jordan, par exemple, qui a su oser quand il le fallait et qui est devenu l’un des plus grands sportifs de notre époque. Ma devise c’est : « Oser » ! Il y a toujours des gens pour dire « ce concours est trop difficile… six heures, c’est énorme ». Je me dis simplement qu’il faut savoir prendre des risques.

Puis, lorsque je vois d’où je viens et les gens que j’ai laissés au Congo pour faire des études, ça me donne la force d’aller de l’avant ! 

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LIDARQUE DU MOIS est un projet mené par le Pôle Réseau des Anciens, qui a vocation à vous présenter chaque mois le portrait d’un étudiant ou ancien étudiant du diplôme.


Ce portrait vous a été proposé par :

David GLASER et Christiana LIM
sous la supervision de Laurène ZABARY

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